• 17 juillet 2016

     

    Creux de Narderans  (46.251090, 5.931875)

     

    Ce bel après-midi d’été représentait une belle occasion d’aller faire une rando.
    Je décidais d’emmener mon fils au Creux de Narderans, dans la chaîne du Jura.
    Notre but était d’aller voir des chamois.

     

    Nous marchions sur un sympathique sentier dans les sous-bois qui nous apportaient un peu de fraîcheur. Nous avions choisi de monter en fin d’après-midi sachant que l’activité de nos amis montagnards était plus importante en fin de journée. Mon fils excité à l’idée de les voir, gravissait le dénivelé avec un enthousiasme débordant.

    Arrivés au chalet de Narderans, nous nous sommes arrêtés pour admirer les imposantes falaises qui nous dominaient, baignées des couleurs douces du soleil couchant.

     

    Nous avions repris notre chemin et déjà nous pouvions apercevoir quelques chamois. Cela était déjà de bon augure pour faire un peu plus tard de belles photos.

     

    Après un bon pique-nique,  nous n’avons pas traîné à nous installer pour composer quelques images intéressantes.
    Mon fils s’appliquait à la tâche. Et avec une discrétion digne d’un indien en pleine chasse, il s’approchait lentement pour espérer avoir un plan plus rapproché des chamois.

    Plus la lumière tamisée du soir envahissait le Creux, plus la troupe de chamois se faisait généreuse et moins farouche.
    Ils broutaient paisiblement les pousses d’herbe entre les rochers et n’étaient même plus dérangés par les derniers randonneurs qui descendaient.
    Parfois quelques individus trônaient en maître sur la crête des falaises.

     

     

     

    Les derniers rayons du soleil caressaient le Mont Blanc et lui donnait ce teint rosé.

     

    Mais la nuit nous invita à ranger notre matériel, les photos devenaient délicates à prendre à cette heure tardive.
    Il était temps de saluer ces locataires des pentes raides et de quitter ces pâturages paisibles. Nous entamions la descente, heureux.

    La forêt du Jura nous plongeait dans une obscurité certaine. Les frontales étaient indispensables pour ne pas déraper sur les pierres.
    Quelques instants plus tard, nous retrouvions la voiture.
    Mon fils ravis de ces rencontres me demandait déjà quand nous y retournerions !

    Une bien belle balade.

     

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